Vendredi 11 Février - Départ de Paris - Charles de Gaulle
Voilà c’est le départ, Michel vient de nous laisser à l’aéroport devant le comptoir de police et attend que je lui confirme notre départ. En effet, l'inquiétude de ne pas embarquer me prend car l'avion est devenu " déconseillé", mais Gilbert, notre ami, veille et ce que je n'avais pas deviné, est qu'il a attendu le dernier moment pour pouvoir mieux nous placer, mais l’avion s’étant rempli, il n’a rien pu faire, cependant l’équipage réussira à nous placer côte à côte.
Après un voyage occupé avec des films et des jeux, nous voilà débarqués à St Martin.
Peggy, Paul et Robert nous acueillent, Jean s’occupant de KURIKA.
A peine débarqués, Paul nous entraine sur la plage du bout de l’aéroport. Nous nous mouillons les pieds et bien sûr le pantalon, Paul a acheté une glace pour Tom rendant tout le monde jaloux (c’est pour rire). A la marina , une surprise nous attend : Kurika est à l eau et flotte paisiblement le fong du quai. Tom veut de suite le visiter (où est ma chambre ?) mais si le bateau est à l'eau l'intérieur en souffre un peu : nous trouvons un monde de bricoleurs, seule la couchette de Robert dans le carré est rangée et accessible, pour le reste pas un millimètre carré de libre. J’arrive à dégager les 2 couchettes à l’arrière, Tom choisit ma couchette, je prendrai celle du Capitaine (quant à Jean, il dormira où il peut) puis nous sommes appelés au bar de la marina pour rejoindre les amis, Roland, son frère et d’autres qui veulent nous saluer. Tom, organisé, emportera un livre de lecture qui, oublié dans le cockpit pendant la nuit, prendra l’eau. Aussi, je promets d’aller le remplacer le lendemain à la librairie.
Après un voyage occupé avec des films et des jeux, nous voilà débarqués à St Martin.
l'île de St Martin |
A peine débarqués, Paul nous entraine sur la plage du bout de l’aéroport. Nous nous mouillons les pieds et bien sûr le pantalon, Paul a acheté une glace pour Tom rendant tout le monde jaloux (c’est pour rire). A la marina , une surprise nous attend : Kurika est à l eau et flotte paisiblement le fong du quai. Tom veut de suite le visiter (où est ma chambre ?) mais si le bateau est à l'eau l'intérieur en souffre un peu : nous trouvons un monde de bricoleurs, seule la couchette de Robert dans le carré est rangée et accessible, pour le reste pas un millimètre carré de libre. J’arrive à dégager les 2 couchettes à l’arrière, Tom choisit ma couchette, je prendrai celle du Capitaine (quant à Jean, il dormira où il peut) puis nous sommes appelés au bar de la marina pour rejoindre les amis, Roland, son frère et d’autres qui veulent nous saluer. Tom, organisé, emportera un livre de lecture qui, oublié dans le cockpit pendant la nuit, prendra l’eau. Aussi, je promets d’aller le remplacer le lendemain à la librairie.
Samedi 12 février Tour à Marigot
Sue, Michelle et Paul nous rejoignent pour déjeuner au Hot Spot.
Crevettes pour tout le monde.
Tom donne un cours de français à Michelle qui a apporté un dictionnaire
Puis après le déjeuner et Tom équipé de palmes, de masque et tuba, nous allons à la plage devant le Beach Plazza pendant que Robert et Jean sortent KURIKA du lagon. Il y a un peu de vagues et Tom ne souhaite pas essayer le nouveau matériel. Je ne veux pas le forcer, aussi, après une trempette, nous construisons un fort, un dauphin et une tortue en sable quant une fille de 9 ans arrive et nous demande de jouer avec nous : elle forme une sirène en un temps record (nous n’avons rien suggéré !) en rajoutant des algues pour la chevelure. Elle va nous chercher deux planches pour surfer dans les vagues pendant que je reste en arrière prête à rattraper Tom. Puis, voyant l'heure, je propose d’aller jusqu’au pont ouvrant voir KURIKA sortir. Je regrette de ne pas avoir emporté l’appareil- photo. Nous voilà tous les 3, après accord de la maman, les mieux placés tout en haut sur la passerelle du pont près d’Alain qui le manœuvre. NOMAD et KURIKA sont là qui attendent. Je n’avais jamais été sur ce pont pendant sa montée, il parait plus grand, c’est très bruyant, les motos juste derrière vrombissent, les gens sont rassemblés et commentent et puis… les bateaux semblent si petits. NOMAD sort en premier, suivi de près par KURIKA avec Robert à la barre. Nous nous époumonons à force de "coucou". Nous regarderons jusqu’au dernier bateau entrant. BAGHEERA, une grande goélette dont Jean connait le propriétaire canadien ainsi qu’un grand catamaran rentrent dans le lagon et semblent passer juste. Nous rejoindrons au chantier TOBY où Jean, Robert, Bernard, Catherine et Alain boivent déjà l’apéritif sous NARVALO.
Dimanche 13 février Visite du Fort Louis
Crevettes pour tout le monde.
Plongé dans le nouveau livre |
Tom donne un cours de français à Michelle qui a apporté un dictionnaire
Puis après le déjeuner et Tom équipé de palmes, de masque et tuba, nous allons à la plage devant le Beach Plazza pendant que Robert et Jean sortent KURIKA du lagon. Il y a un peu de vagues et Tom ne souhaite pas essayer le nouveau matériel. Je ne veux pas le forcer, aussi, après une trempette, nous construisons un fort, un dauphin et une tortue en sable quant une fille de 9 ans arrive et nous demande de jouer avec nous : elle forme une sirène en un temps record (nous n’avons rien suggéré !) en rajoutant des algues pour la chevelure. Elle va nous chercher deux planches pour surfer dans les vagues pendant que je reste en arrière prête à rattraper Tom. Puis, voyant l'heure, je propose d’aller jusqu’au pont ouvrant voir KURIKA sortir. Je regrette de ne pas avoir emporté l’appareil- photo. Nous voilà tous les 3, après accord de la maman, les mieux placés tout en haut sur la passerelle du pont près d’Alain qui le manœuvre. NOMAD et KURIKA sont là qui attendent. Je n’avais jamais été sur ce pont pendant sa montée, il parait plus grand, c’est très bruyant, les motos juste derrière vrombissent, les gens sont rassemblés et commentent et puis… les bateaux semblent si petits. NOMAD sort en premier, suivi de près par KURIKA avec Robert à la barre. Nous nous époumonons à force de "coucou". Nous regarderons jusqu’au dernier bateau entrant. BAGHEERA, une grande goélette dont Jean connait le propriétaire canadien ainsi qu’un grand catamaran rentrent dans le lagon et semblent passer juste. Nous rejoindrons au chantier TOBY où Jean, Robert, Bernard, Catherine et Alain boivent déjà l’apéritif sous NARVALO.
nous sommes ancrés dans la baie de Marigot |
Sue souhaite emmener Michelle visiter le Fort Louis et nous propose de nous joindre à elles.
Tom est vite prêt avec son gilet de sauvetage et avant de partir…. se prend pour le capitaine. Les hommes restent à bord.
En attendant Sue et Michelle, Tom devient le nouveau Capitaine |
Etre Capitaine, c'est une affaire sérieuse, aussi l'homme se concentre....
il faut vraiment se concentrer |
Bon, tu peux m'aider, c'est de quel côté tribord? |
Ce doit être de ce côté-là, je vois rien avec mes lunettes...
Puis, c'est déjà l'heure de mettre le gilet, je dois quitter mon poste de capitaine, mais je te fais un beau sourire quand même :
Il faut mettre le gilet quand on ne sait pas nager |
Quel boulot! Où sont les boulets? |
Je suis arrivé en haut |
Le Fort Louis fut construit par le Chevalier De DURAT pour améliorer la petite colonie. En 1784, il rassembla les habitants, leur exposa son plan qui était de construire une geôle (sic !), un pont et un petit fort et leur en demanda les moyens. Après délibération, ces derniers fournirent et nègres et contributions. Le fort Louis fut donc construit en 1789 en même temps que la prison qui est maintenant la caserne des pompiers et le petit pont DURAT existe toujours à Hameau du Pont.
Ce fort est vraiment une ruine, mais a une belle vue.
On fait parfois de drôle de rencontre dans ce pays
Après un repas à bord, nous irons jusqu'à la pointe Bluff (là-bas au fond à droite de la photo ci-dessus, vous ne voyiez pas?) où une digue d’un ancien hôtel donne une bonne protection en formant comme un petit lac. Tom réussit à flotter avec le masque … sans le tuba : il se laisse guider en me donnant la main, retient son souffle et m’arrête pour le reprendre. Youpi ! Quant à Robert ,il a vu une grosse langouste près d’un casier, langouste que nous ne reverrons plus. Apéritif sur NOMAD.
Ce fort est vraiment une ruine, mais a une belle vue.
la baie de Marigot vue du Fort Louis |
On fait parfois de drôle de rencontre dans ce pays
Après un repas à bord, nous irons jusqu'à la pointe Bluff (là-bas au fond à droite de la photo ci-dessus, vous ne voyiez pas?) où une digue d’un ancien hôtel donne une bonne protection en formant comme un petit lac. Tom réussit à flotter avec le masque … sans le tuba : il se laisse guider en me donnant la main, retient son souffle et m’arrête pour le reprendre. Youpi ! Quant à Robert ,il a vu une grosse langouste près d’un casier, langouste que nous ne reverrons plus. Apéritif sur NOMAD.
Lundi 14 février - Nouvelle Baignade à la Pointe Bluff
Déjeuner au Sous-marin où JB et Paula lui prêteront et la bicyclette de leur fils et 2 journaux pour enfants. Au départ, un petit drame se joue car J.B lui reprend les journaux. Nous referons plus tard un autre tour à la librairie avec un autre livre. Comme il fait un temps superbe, nous retournerons l’après-midi à la pointe Bluff où Tom accepte d’essayer le tuba et réussit du premier coup, je le guide toujours, étant la barrière qui lui assure d'avoir toujours pied. Il fera un tour sur la côte avec
Michelle dont il aime bien la compagnie.
Il y a des moments de gourmandise
et toujours des moments de grimaces
Michelle dont il aime bien la compagnie.
Il y a des moments de gourmandise
Y en a encore? |
Mardi 15 février
Déjeuner au Sous -Marin où Paula et J.B nous proposent de nous joindre à eux après l’école faire un tour sur la digue de la Marina Port Louis avec les enfants et les vélos. Tom et moi partons avec la grosse auto de J-B chercher ses 2 enfants, Maël et Alice à l’école maternelle où tous les enfants nous entourent et nous montrent le lapin dans sa cage et la grosse tortue qui s’est cachée sous un
escalier.
Paula, Gilberte, la belle-soeur de J.B, hôtesse del'air à AF, nous attendent déjà avec un goûter
Les tours de bicyclette sur la digue réjouissent les enfants, il y aura bien quant même quelques disputes.
escalier.
Paula, Gilberte, la belle-soeur de J.B, hôtesse del'air à AF, nous attendent déjà avec un goûter
Les tours de bicyclette sur la digue réjouissent les enfants, il y aura bien quant même quelques disputes.
la photo avant le retour à la maison |
Mercredi 16 février
Robert décide de rentrer en France. Tom rouspète car nous ne naviguons pas. Jeux de cartes avec Michelle. Tour à la plage du Galion avec Paula et ses enfants.
Jeudi 17 février : Nous naviguons! Enfin! !!Direction l'île de Tintamarre
Départ pour l’île de Tintamarre au moteur car le vent est de face avec possibilité de s’arrêter à Grand Case si la mer et le vent sont trop fort pour convenir à Tom, NOMAD nous suit, mais à la voile et tirera des bords. Tom se plaindra de mal au ventre et pleure quelques instants en réclamant son père, je lui dis que Paris est un peu loin et l’installe au vent avec un coussin. Après un gros rot, il éclate de rire en disant que cela va mieux, puis ça lui reprend mais heureusement cela passe très vite . Finalement, comme il va bien nous continuons vers Tintamarre et arrivons après moins de 3 heures qui seront finalement très vite passées. Nous ne voyons même plus NOMAD qui tire ses bords. Inhabitée, Tintamarre fait partie de la réserve naturelle et est totalement protégée.
Nous découvrons des bouées de mouillage mises à notre disposition.
Thomas jette l'ancre avec Jean et se penche pour voir où elle tombe.
Départ pour l’île de Tintamarre au moteur car le vent est de face avec possibilité de s’arrêter à Grand Case si la mer et le vent sont trop fort pour convenir à Tom, NOMAD nous suit, mais à la voile et tirera des bords. Tom se plaindra de mal au ventre et pleure quelques instants en réclamant son père, je lui dis que Paris est un peu loin et l’installe au vent avec un coussin. Après un gros rot, il éclate de rire en disant que cela va mieux, puis ça lui reprend mais heureusement cela passe très vite . Finalement, comme il va bien nous continuons vers Tintamarre et arrivons après moins de 3 heures qui seront finalement très vite passées. Nous ne voyons même plus NOMAD qui tire ses bords. Inhabitée, Tintamarre fait partie de la réserve naturelle et est totalement protégée.
l'îlot inhabité de Tintamarre au Nord Est de St Martin |
Nous découvrons des bouées de mouillage mises à notre disposition.
Thomas jette l'ancre avec Jean et se penche pour voir où elle tombe.
Jean nous débarque de suite sur la plage, débarquement bien expliqué à Tom et orchestré à cause de petits rouleaux. Bon, ils ne sont pas gros mais quand même, le canot peut être vite jeté de travers sur la plage et nous déséquilibrer, Tom est informé : Jean s’approche, je saute et à l’ordre « descends », il saute du canot et court sur la plage. Nous chaussons nos Crocs pour aller voir la barrière de corail au sud, où je pensais trouver une mer calme et faire nager Tom, mais cette barrière n’empêche pas de petites vagues qui ne tentent pas du tout Tom. Il n’est pas tenté non plus par une promenade dans le bush derrière la plage, où trainent de vieilles carcasses et moteurs d’avions abandonnés depuis que les pilotes et les contrebandiers n’utilisent plus la piste d’atterrissage, active de 1944 à 1952. Cela m'étonne fort mais je comprends vite car il m’explique que les herbes et arbustes l’égratignent : effectivement, ils sont de sa taille! Tom découvre des perles de plastique orange, puis nous jouons dans les rouleaux : il est ravi, se jette dans les rouleaux et se laisse rejeter à la plage, moi derrière. évidemment. Nous fabriquons une sirène de sable et nous nous recouvrons de sable. Jean aide NOMAD à prendre une bouée et nous rejoint. L’apéritif est sur NOMAD ou il y a plus de place dans leur cockpit.
Vendredi 18
Nous retournons profiter de la plage et de ses petits rouleaux.
Tintamarre vient de l’espagnol « Tinta mare », couleur de la mer et un beau turquoise devant la plage de sable blanc régale nos yeux.
Nous retournons profiter de la plage et de ses petits rouleaux.
quel plaisir! |
Samedi 19 février
et après le déjeuner ferons une belle navigation jusqu’à PHILIPSBURG , capitale de la partie Hollandaise à la voile, avec l'artimon et le génois, comme la rêvait Tom- dixit Tom
ancrés dans la baie de Philipsburg |
Tour dans Philipsburg où presque toutes les boutiques sont fermées : c'est dimanche ET il n'y a qu'un petit paquebot.
Voici les villes de Philipsburg, côté hollandais et celle de Marigot, côté français :
Même le restaurant de Delphine est fermé, le resto local fermé, nous trouverons finalement un restaurant sur la plage servie par une noire aux cheveux violacés qui a bien plu à Jean.
J'ai oublié de mettre ces photos, cela viendra plus tard
Retour au bateau : « Allez Jean, FONCE………………….. » pour aller chercher maillot de bain, planche, bouée… plusieurs tentatives de nage en tenant une bouée devant, Tom se montre très volontaire, mais le soir tombe et c’est trop tard pour le kayak promis.
Lundi 21 février
Sue, Michelle et Paul nous attendent pour refaire un tour à Philipsburg. Au moment de fermer le bateau, nous entendons une grosse crise de pleurs. Difficulté dans ces pleurs de comprendre ce qui se passe : enfin, cela y est, nous apprenons la nouvelle : la belle casquette offerte par Jean s’est envolée par-dessus bord. Jean se déshabille, plonge pendant que j’essaie de la repérer, ça y est, elle apparait à quelques mètres du dinghy, rinçage, accrochage, prêt d’une nouvelle casquette et nous voilà fonçant sur les flots pour un nouveau tour en « ville ».
C'est Jeannot qui regarde les filles et c'est moi qu'il fait poser pour la photo!!
Aujourd’hui, il y a 3 Cruise Ships aussi la ville est animée et toutes les boutiques ouvertes. La promenade sur la plage est belle, les vélos( ?) à 2 roues recherchent les clients : 30$ la 1/2h ! Ce ne sera pas pour nous. Partout ça retape ou construit, la ville prospère au contraire du côté français. Boutiques, restaurants, tous racolent. Nous déjeunerons chez Delphine qui offre une grosse glace à Tom.
C'est Jeannot qui regarde les filles et c'est moi qu'il fait poser pour la photo!!
Aujourd’hui, il y a 3 Cruise Ships aussi la ville est animée et toutes les boutiques ouvertes. La promenade sur la plage est belle, les vélos( ?) à 2 roues recherchent les clients : 30$ la 1/2h ! Ce ne sera pas pour nous. Partout ça retape ou construit, la ville prospère au contraire du côté français. Boutiques, restaurants, tous racolent. Nous déjeunerons chez Delphine qui offre une grosse glace à Tom.
Après déjeuner, Tom remonte l’ancre avec Jean, puis nous montons l’artimon, Tom prend une photo de Nomad que nous suivons quelques instants.
NOMAD prenant une autre direction que nous, tous 3 sont venus dire au revoir et insisteront sur le plaisir d’avoir connu un si agréable petit garçon.
Tout le sud de la côte est une agréable navigation, vent arrière ou de travers suivant le relief,une belle mer, Tom prend des initiative et va fermer le hublot arrière, s’intéresse à la carte de navigation sur l’ordi, nous voyons encore NOMAD pas très loin. Tom et Jean vont sur le pont prendre des photos
Tout le sud de la côte est une agréable navigation, vent arrière ou de travers suivant le relief,une belle mer, Tom prend des initiative et va fermer le hublot arrière, s’intéresse à la carte de navigation sur l’ordi, nous voyons encore NOMAD pas très loin. Tom et Jean vont sur le pont prendre des photos
La mer est calme, nous sommes protégés du vent par la côte.
Tom admire ls bateaux, s'étale sur un tas de coussins.
La dernière demi-heure est plus dure pour lui : il faut contourner l’île et remonter au vent au moteur,donc affronter les vagues. En apercevant une vague qui lui apparait brusquement énorme,un peu d’inquiétude apparaît dans sa question : « vous avez déjà eu des vagues comme cela ? », je ris et lui réponds « encore plus grosses », je lui fais regarder le nez des bateaux qui sortent des vagues et y plongent mais un petit « mal de ventre » apparait que 2 chewing-gums au gingembre soignent - ouf- bien vite, il fait vite bonne figure et rigole de se faire éclabousser par quelques embruns
et nous arrivons pour assister à un beau coucher de soleil
Mardi 22 février
Après la chute du lit hier sur 2 oreillers dont Tom ne se souvient pas, ce soir, il couche dans la couchette du carré. Il fera une excellente nuit ce qui ne sera pas mon cas, étant donné le roulis je suis réveillée par 3 fois et le serai définitivement à 4h30. Nous penons donc le pont de 8h15 pour passer le pont et rentrer dans le lagon, des vagues déferlent sur le haut fond de tribord. Courageuse-sic- je laisserai la barre à Jean. Tom ne veut pas aller à la plage.
Nous choisissons de faire une peinture, cela prendra du temps, nous discutons du sujet, trouver la bonne taille du tableau, je me souviens soudain de grandes feuilles de papier que KITTY, une amie, m’avait données. Déjeuner chez J.B qui lui prêtera de nouveau la bicyclette de son fils. Paul et Peggy nous rejoignent pour le café. Tour en ville. Tom souhaite aller à la plage faire des pâtés, nous tenterons une sortie du lagon en dinghy, pour atteindre la plage par l’extérieur, les vagues ont diminué, nous sortons du lagon mais le débarquement sur la plage reste impossible à cause de petits rochers devant les petites plages aussi nous retournerons et débarquerons au chantier TOBY pour passer par l’hôtel. En 1 heure, fabrication d’un dauphin et recherche de coquillages
ET VOILA, c’est le 23, le jour du retour
Nous nous enregistrons à midi et irons sur la plage du bout de l’aéroport regarder les avions atterrir, manger une pizza qui est excellente et mouiller une dernière fois les pieds
encore une fois courir sur la plage |
le voilà, notre avion |
la vue de l'aéroport |
Mais avant un dernier coup d'oeil à la mer et aux bateaux
AU REVOIR